C’était la deuxième réunion transnationale du projet FADO, un effort ambitieux visant à transformer le théâtre en outil de guérison. Nous venions d’Espagne, de Serbie, de France, de Chypre, d’Italie mais pendant deux jours, dans cette salle, nous avons parlé le même langage : le changement.
Les violences basées sur le genre sont une réalité brutale pour beaucoup, et demander de l’aide peut sembler impossible, en particulier pour celles et ceux qui sont encore en danger. En combinant l’art du récit avec une plateforme en ligne accessible, le FADO offre aux victimes un moyen de trouver du soutien sans s’exposer à davantage de risques.
Dans un monde où les violences basées sur le genre continuent de briser des vies et de réduire des voix au silence, le projet FADO se dresse comme une force de résistance puissante – fondée sur l’empathie, le récit et l’action collective. FADO, acronyme de Finding Assistance, Delivering Outreach, n’est pas seulement un dispositif de soutien, c’es un mouvement porteur de transformation.